Studio de design originaire de Finlande, mais désormais installé en France a conçu une série de luminaires sur le thème du pli. Leurs créations, réalisées en contreplaqué, sont toutes suspendues et modulables.

Snarkitecture a imaginé une lampe mariant une ampoule électrique et une bougie posée au-dessus d'une capsule de verre. Une approche poétique autour de la lumière où la cire coule et se dépose pour recouvrir la lampe. La pièce est vivante et évolutive, derrière la cire la lumière sera de plus en plus tamisée et diffuse.

Soutenu par un châssis en acier tubulaire, le buffet Mido a été conçu par le designer danois Rasmus Warberg. Le cœur du meuble semble suspendu et l'effet est amplifié par le contraste entre les détails du travail du bois et le minimalisme de sa structure de piètement.

Le designer Laurent Gourier a récemment lancé sa propre marque de mobilier : VYRILE. Il s'inspire de matériaux nobles et laissés bruts. Un des premiers essais concerne une chaise mariant un design en acier tubulaire à une assise en hêtre. Le résultat est minimaliste et authentique.

Pour cette 10e édition, la biennale du design de Saint-Etienne s'interroge sur les mutations du travail à travers le design et sur son devenir effectif. Comment améliorer le travail, le rendre plus agréable, plus intelligent ? Tout en composant avec la prolifération des nouvelles technologies et les fortes tensions sociales ?

Un groupe d'étudiants de l'école allemande Angewandte Kunst Schneeberg a présenté une collection de mobilier tirant parti des caractéristiques techniques et esthétiques d'un feutre composite. Complété de structures minimalistes en bois, le feutre se plie et se décline en plusieurs meubles.

Le designer allemand Bernhard Osann créé à partir d'une tige d'acier qu'il plie dans un mouvement délicat une lampe reposant par appui simple contre un mur. La lampe, légère, peut être tournée et orientée réant ainsi des effets différents.

Lim+Lu, studio de designers installé à Hong Kong, imagine une série de mobiliers aux teintes pastel développant leurs lignes autour du daybed. Minimaliste, la collection met néanmoins en œuvre des matériaux fins presque iconiques.

L'intriguant design de Victor Castanera trouble la perception de l'utilisateur, la structure qui apparait aux premiers abords équilibrée défit en réalité les lois de l'apesanteur.

L'acronyme W8 est un clin d'œil au jeu de poids des différents matériaux qui composent la table d'Alain Gilles et éditée chez ligne Roset. Lieu de rencontre entre la stabilité et l'instabilité, il joue sur le déséquilibre apparent de la structure du meuble.
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