Flint House, située à Buckinghamshire dans la banlieue de Londres, est une maison en deux parties s’intégrant totalement au paysage par sa forme pyramidale et l’utilisation de matériaux locaux comme le calcaire ou le silex.

Le siège de la maison d’édition fondé par Louis Hachette a pris ses quartiers au sur de la petite couronne de la capitale, à Vanves. Sa silhouette offre depuis l’extérieur une image de calme solidité, quant à l’intérieur, il présente un espace de travail propice au vivre-ensemble.

La Villa Montebar est une maison en bois préfabriquée et installée face au spectacle des Alpes suisses. Un lieu magique où le silence alterne avec le son des doux carillons des vaches des pâturages alentour. Le projet, résolument contemporain tire pourtant son inspiration au sein des codes de l'architecture locale.

Dans un vieux quartier populaire de Toulouse, les architectes de l'agence PPA Architecture ont livré le projet de la maison Martel : la restructuration d'une ancienne fonderie dont la nouvelle architecture, greffée à l'existant, a su rester discrète pour mieux se révéler à l'intérieur.

Au cœur du lotissement d'un bourg du Calvados, deux architectes ont exprimé de manière franche une nouvelle interprétation de la maison individuelle. Son architecture se place en opposition avec le système générique organisant les parcelles alentour. Elle se formalise selon des axes et des partis pris architecturaux propre au site et aux souhaits de ses futurs habitants.

A l'orée d'un bois, là où le village de Nouvelles en Belgique semble se terminer et se conjuguer avec la nature, l'architecte Max de Rosee a récemment livré une cabane de 35 mètres carrés. Le projet autoconstruit s'est développé au bord d'un étang en utilisant un bois local.

À l'heure de l'urgence du développement d'une architecture et d'une ville durable, cet ouvrage rassemble les manifestes d'architectes du monde entier, lauréats du Global Award for Sustainable Architecture, remettant en question le modèle du fonctionnalisme fondé sur l'exploitation sans limites des ressources et l'aménagement souvent trop autoritaire de l'espace.

En pleine COP21, Villes potentielles, architecture et anthropocène a pour ambition de mener une réflexion sur l'imaginaire architectural et urbain que convoquent les changements climatiques. Trente jeunes architectes et quelques unes de leurs figures tutélaires participent à cet événement et engagent un travail commun pour penser la ville à l'ère de l'anthropocène. 30 maquettes, 64 dessins originaux et 90 images de référence tentent de restituer cet imaginaire.
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