Marit Roland, artiste d'origine norvégienne, travaille avec de grandes installations faites de papiers. Éphémères, elles s'adaptent et interrogent les lieux pour lesquels elles sont créées. Pour la quatorzième installation de sa série, des cônes de papier sont juxtaposés et rayonnent sur le thème du mouvement depuis un angle du Sørlandets Kunstmuseum à Kristiansand en Norvège.

Solo Projects a pour vocation de mettre en lumière les œuvres plastiques d’architectes, privilégiant l’expérience de l’œuvre aux traditionnels dessins et maquettes.  Pour sa troisième exposition, la galerie présente les œuvres de l’architecte hollandais Anne Holtrop, inspirées du royaume du Barheïn où il officie aujourd’hui.

Sculpteur et photographe installé à New York, Petros Chrisostomou marie des objets grandeur nature avec des espaces miniatures. Il crée ainsi des relations architecturales incongrues qui transforment des espaces communs en univers surréalistes. Ses sculptures sont photographiées par ses soins et offrent aux yeux des curieux une confrontation loufoque entre échelles.

Un essaim de mouches crée au-dessus d'une paire de chaussure noire une silhouette qui apparaît humaine. Zapatos que rompen el silencio, chaussures qui rompent le silence, est l'œuvre d'Antonio Paucar, un artiste péruvien vivant et travaillant à Berlin. Son œuvre semble évoquer l'impermanence au travers des réflexes propres au sublime : la fascination puis la peur ou l'horreur.

Depuis 2006, l'artiste Victor Enrich travaille sur son projet City Portrait au travers de plusieurs séries. A partir de clichés originaux de fragments de ville, il crée de manière digitale une illusion architecturale. Au long de ses voyages, Enrich utilise le projet afin de se familiariser avec de nouvelles villes et de nouveaux espaces. Il explore leurs limites, et se plonge au cœur de leur architecture.

A La Vallette à Malte, un pavillon a pris place à quelques encablures des quais et des plages de la ville. Accessible uniquement à la nage ou en bateau, l'île artificielle et isolée invite avec une poésie intemporelle à la paresse et à la contemplation depuis un lieu construit au ras de l'eau.

Artiste chinois né à Quindao, Quie Minye a expérimenté pour sa série de photographies My God le lightpainting. Les traits éphémères de son dessin ont été capturés par l'objectif de son appareil. Le résultat est une série de personnages, d'animaux et de formes oniriques. Un doux songe rendu réel par l'impression de la lumière aux confins de son appareil, un processus technique qui permet d'en conserver le souvenir.

A l'occasion des quatre jours du festival New Generations, à Gènes en Italie, un workshop conduit par Edouard Cabay et Margherita Del Grosso a donné naissance à une œuvre inspirée par l'architecture et la construction navale.

Une installation temporaire en bambou a été réalisée au cœur de l’enceinte du campus universitaire de Macao. L’utilisation du bambou réintroduit un matériau ancestral au plus près des habitants tout en l'adaptant à des usages urbains contemporains.

L’installation temporaire réalisée par SOFTlab pour le Flatiron District ajoute de la poésie dans ce quartier de Manhattan grâce à l’utilisation de matériaux où se reflète et se démultiplie l’architecture environnante.
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