La première adresse parisienne de Laura Gonzalez En pratique, elle métamorphose l’espace d’exposition en un laboratoire d’expérimentations, entre lieu de vie et mise en scène, où les pièces de la collection dialoguent à merveille avec les pièces uniques. Depuis ses débuts, Laura Gonzalez parie sur l’artisanat, la qualité, le confort et les matières. Il est désormais possible de le voir de près et de le toucher. Avec cette galerie, tout est affaire de récréation. C’est la fête. De la créativité outrageuse, des collaborations multiples, des couleurs explosives et des possibles infinis. Pas froide ni figée, elle raconte des histoires et invite à la visiter, souvent.La première scénographie présentée sur le thème du Printemps donne la tonalité de l’expérience dans laquelle Laura Gonzalez souhaite emmener le visiteur. Imaginé en association avec l’éditeur de tissus Schumacher, le récit prend place dans une pièce « dinner after dinner », soit une salle à manger doublée d’un salon-bar du soir, suivie d’un bureau bibliothèque immersif, entièrement habillé de tissus tout comme les murs de la galerie.Partout, la collection de mobilier de la maison parisienne s’habille des créations colorées du label américain. Une rencontre éclatante, toute en formes, matériaux et imprimés. À l’image de la chaise Mawu, du fauteuil Madras, de la méridienne Pilat ou du canapé Fuji.Autres invités phares, les iconiques revisités en de nouvelles teintes et effets, les éditions uniques ou limitées réalisées en collaboration avec des artisans d’art comme Véronique Rivemale, Thomas Boog, François Mascarello et Véronique de Soultrait, et les objets chinés du moment. Cette présentation d'œuvres n’est pas classique, c’est une exposition joyeuse qui met en scène l’univers de Laura Gonzalez dans son expression la plus libre. Visuels © : Stephan Julliard Précédent Suivant
