A l'occasion du regroupement des services sociaux de Palaiseau sur un même site, l'Atelier Novembre conçoit cette plateforme sociale comme un lieu d'accueil à échelle humaine, intégrant une ancienne gendarmerie.

Fragment reconstitué du paysage malouin, l'immeuble des Terrasses du Rocher développe une typologie riche et complexe, offrant à tous ses résidents une grande diversité d'habitat. Plus qu'un bâtiment, c'est un village entre boulevard et jardin de dunes qui s'est construit sur les ruines d'une ancienne imprimerie. Un projet conçu par l'atelier Loyer pour le groupe Giboire, qui met le zinc à l'honneur (VMZINC).

  Situé dans le centre bourg de Vertou, le centre culturel accueille des studios de danse, de théâtre et de musique ainsi qu'une salle polyvalente. Introduite par l'agence Fernandez & Serres, la notion de "résonance" est au coeur du projet. La mairie de cette commune proche de Nantes a donné libre cours à la créativité des architectes leur permettant de s'émanciper des nombreuses contraintes souvent rencontrées dans ce type de village. L'agence a voulu opposer à la tradition environnante un projet fort et imposant.

A Nanterre, les architectes de l'Atelier du Pont imaginent les 157 logements des îlots B1 et B2 de la ZAC Saint-Geneviève sur un modèle intermédiaire entre architecture et urbanisme, une alternative entre collectif et individuel créant une liaison dense entre des tissus urbains hétéroclites.

  A 57m au-dessus du sol, l'agence Moatti-Rivière revisite l'ensemble du premier étage de la Tour Eiffel pour adapter les deux pavillons à la fréquentation du monument et renforcer l'attractivité de cet étage, le plus vaste mais paradoxalement le moins visité.

  Occupant un niveau d'un immeuble haussmannien sur les Champs Elysées, la société Ekimetrics, experte en stratégie BigData et impliquée dans l'art, souhaitait redonner à ses bureaux une cohérence d'ensemble correspondant à l'identité jeune et dynamique de l'entreprise.

Sur la frange est de l'Île-de-Nantes, l'agence François Leclercq et Associés réinterprète la typologie de la halle industrielle - une figure historique du quartier - pour concevoir avec rationalité un lieu d'enseignement et de loisir articulé autour d'une rue intérieure, haut lieu de vie en collectivité pour les 1500 élèves du lycée.

Sur une parcelle parisienne contrainte par une forte emprise du bâti et des espaces extérieurs restreints, l'agence Devaux et Devaux Architectes met en place un environnement protecteur et lumineux pour l'accueil des enfants.
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