Pour la façade du projet Ourcq-Jaurès, les architectes ont choisi un camaïeu de briques moulées main Domus du fabricant Wienerberger. Les briques sont obtenues par le jet d’une masse d’argile dans un moule. Elles sont ensuite vieillies mécaniquement et pourvues d’une couche cimentée hydrofugée. Références : Domus Caillou, Domus Amande, Domus Colombe.

L'atelier Novembre a conçu une plateforme sociale en réhabilitant le bâtiment d'une ancienne gendarmerie et en créant une nouvelle entité greffée à l'existant. L'architecture fabrique un lien tout en conservant les murs existants. L'isolation du projet est dissimulée sous un revêtement de l'entreprise Baumit.

Pour la Médiathèque Françoise Sagan, les architectes ont mené une réforme extensive de la partie extérieure du bâtiment, notamment les arcades qui caractérisent la façade. Elles apportent généreusement de la lumière naturelle, occultée au besoin par d'élégants rideaux posés entre la pierre des anciens murs et les nouvelles menuiseries.

Fragment reconstitué du paysage malouin, l'immeuble des Terrasses du Rocher développe une typologie riche et complexe. Plus qu'un bâtiment, c'est un village entre boulevard et jardin de dunes qui s'est construit sur les ruines d'une ancienne imprimerie. Un projet conçu par l'atelier Loyer pour le groupe Giboire, qui met le zinc à l'honneur (VMZINC).

  A Montataire dans l'Oise, l'agence Zoévox a réaménagé le siège français de la société AkzoNobel grâce à un impact visuel fort et coloré à l'image de la marque.

Mercredi 3 février 2016, Anne Hidalgo, maire de Paris, dévoilait la liste des vingt-deux lauréats de "Réinventer Paris", appel à projets urbains innovants lancé fin 2014 : une première mondiale pour imaginer et construire la ville de demain. Pour l'occasion, le Pavillon de l'Arsenal expose l'ensemble des projets soumis au jury.

La maison Métrailler s'implante dans les vignes sierroises au pied d'une falaise des Alpes suisses. En écho au caractère minéral du site, la construction s'élève à la manière d'un rocher au milieu des ceps de vigne, tout en concentrant son plan afin de minimiser l'emprise au sol.

Respecter l'essence et les murs de l'existant tout en inscrivant une extension dans les codes de sa propre temporalité, le musée Luthers Sterbehaus offre certains éléments de réponse aux éternelles interrogations des projets se confrontant à un existant chargé d'histoire.

Située sur les rives de la rivière Assomption au nord de Montréal, une habitation a été imaginée au milieu d'une forêt de résineux. L'architecture a essayé de réduire son impact sur cet environnement singulier et préservé, elle réussit à rester discrète malgré une surface généreuse.
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